3 préjugés que vous pouvez avoir sur le Cloud

3 préjugés que vous pouvez avoir sur le Cloud

Publié le : 27/07/2023 27 juillet juil. 07 2023

Aujourd’hui, les besoins informatiques et digitaux évoluent : on ne peut plus se passer du Cloud.
Bien que nos usages, au quotidien, y prennent part (WhatsApp, iCloud, Google Drive…), l’intérêt dans la pratique notariale n’est pas forcément perçu.

Cette solution dématérialise l’infrastructure, vous libère de vos serveurs au sein de l’étude. Vous disposez ainsi de toutes les ressources informatiques, adaptées à vos usages. Les avantages sont nombreux :
  • Accéder aux dernières évolutions des applications, de manière agile,
  • Bénéficier d’un ensemble de services : cybersécurité, maintien en condition opérationnelle, accompagnement,…
  • Disposer d’un usage personnalisé, selon le nombre d’utilisateurs,
  • Se connecter depuis n’importe quel environnement, en mobilité,
  • Profiter d’une interconnexion auprès de sociétés partenaires, proposant de la valeur ajoutée à votre étude…

En revanche, les aprioris demeurent. Voici 3 réponses aux préjugés que vous pouvez avoir au sujet du Cloud.

Préjugé n°1 : Les données sont mieux sécurisées dans le serveur de mon étude VS sur le Cloud

Les données sur serveur, dans l’étude et sur un réseau peu sécurisé, sont facilement accessibles en cas d’attaque.
A l'inverse, les moyens et investissements mis en place sur le Cloud assurent un service à la hauteur : équipes sécurité 24h/24 & 7j/7, maintien en condition opérationnelle, renforcement de la protection…
Les données sur le cloud sont alors hautement sécurisées. Vous pouvez profiter d’une intégrité et d’une réversibilité de vos données.
Septeo protège votre environnement dans le respect des contraintes légales, répondant au besoin de souveraineté et aux attentes de la profession.

Préjugé n°2 : Le Cloud est une solution qui coûte trop cher

Un surcoût peut être perçu sur le Cloud.
Toutefois, la comparaison est à effectuer avec un amortissement sur 36 mois. L’investissement est deux fois moindre par rapport à un serveur.
Le coût supplémentaire provient de l’ajout de licences par utilisateurs, en plus de la licence classique. Dans cet investissement sont compris les services supplémentaires : sécurisation, expertise, flexibilité, mobilité, API, infogérance, électricité, climatisation…
L’intérêt, notamment de tranquillité dans la gestion et de sécurité de l'étude, est alors à percevoir au-delà de l'aspect financier.

Préjugé n°3 : Le Cloud est plus lent que le serveur

Du point de vue de l’utilisateur, l’usage reste le même.
Oui, la distance engendre des lenteurs. Toutefois, le Cloud dispose d’une puissance informatique bien plus importante.
Bien que le serveur soit proche, relié par un câble, et que le Cloud soit, effectivement, plus loin ; le temps de réponse des solutions y est bien plus rapide.
Ainsi les potentielles latences ressenties sont compensées.
 

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